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    franchement vous n'êtes pas révoltés lorsque vous voyez trainer , lors de promenades tous les détritus qui jonchent la nature alors qu'il serait tout de même plus citoyen de trier et les poubelles ne sont pas fait pour les chiens, perso , je ne décolère pas durant mes randonnées

     

    à regarder

     

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    santé à la lune" : son site

     

    Le blog d'un Naturopathe / Guérisseur-Conseil / Trophologue qui vous parle de sa passion : la santé ... autrement !

     

    Où irez-vous si Fukushima explose ?

    Tandis que le club des journalistes parisiens nous bombarde de gros titres sur le dernier tweet de Valérie Trierweiler (passionnant !), les mésaventures de Ségolène (navrant !), le départ de Laurence Ferrari (émouvant !) ou encore les déclarations des (ir)responsables européens sur la crise des dettes publiques, la situation à Fukushima tourne à la catastrophe sans que cela ne mérite une ligne dans nos journaux ni même quelques secondes d'antenne.

     

    C’est ainsi que commence le mail que je viens de recevoir ce mercredi matin.

    Un mail plutôt « catastrophique » !

    Un mail sous-titré « Une question de survie de l'espèce humaine ».

    Un mail de six pages A4 dont je vous donne un « digest » ci-dessous…

    Un mail qui révèle ce que, curieusement, aucun journaliste ne semble vouloir porter à la connaissance du grand public…

    Hoax ? Canular ? Je ne pense pas. Il est signé Jean-Marc Dupuis, rédacteur en chef de « Santé et Nutrition », une personne qui est loin d’être un farceur…

     

    Lorsque la centrale nucléaire de Fukushima fut ravagée en mars 2011, les autorités japonaises et les agences spécialisées dans le nucléaire ont eu une seule priorité : minimiser de façon obscène l'impact sanitaire de la catastrophe, pour empêcher tout mouvement de panique.

    L'explosion d'une centrale nucléaire libère pourtant dans l'atmosphère une grande quantité de radionucléides radioactifs (dont l’iode 131, iode radioactif qui peut venir se fixer sur notre glande thyroïde et nous irradier de l’intérieur, d’où la bonne idée d’avoir chez soi de la teinture d’iode pour s’en badigeonner en cas d’exposition à de l’iode radioactif : l’iode normal va saturer la thyroïde, empêchant de la sorte l’iode radioactif de s’y fixer).

    Contrairement à ce qu'ont reconnu les autorités au moment de l'accident, des dizaines de milliers de personnes au Japon et dans le Pacifique ont été affectées par les « déchets » de la centrale de Fukushima (jusque sur les côtes de la Californie).

    Si les estimations actuelles sont exactes, Fukushima a déjà relâché autant de radiations dans l'atmosphère que Tchernobyl (sans compter ce qui a été rejeté à la mer), avec la différence que la société TEPCO et le gouvernement japonais n'ont pas voulu construire de sarcophage en béton autour de la centrale, comme à Tchernobyl, et que, de ce fait, on se retrouve avec des installations nucléaires à nu, à la merci d’un nouveau tremblement de terre : d'immenses territoires aujourd'hui densément peuplés deviendraient inhabitables, pour des siècles voire des millénaires.

     

    La pire menace actuellement concerne les « piscines ».

    Dans une centrale nucléaire de type Fukushima, les barres de combustible usé sont stockées dans des piscines remplies d'eau. Ce combustible émet des rayonnements extrêmement dangereux pour l’homme et dégage une énorme chaleur. Dans les conditions « normales », l’eau permet de bloquer les rayons, et de refroidir les barres de combustible usé. Des machines permettent en outre d'examiner les barres, de les déplacer, etc.

    Sauf que, suite à l’accident, le système de refroidissement a cessé de fonctionner, d’où évaporation de l'eau, puis incendie dans la piscine du réacteur n°4 avec nouvelles émissions de vapeurs radioactives, et destruction des machines pour déplacer les barres ont été détruites.

    Plus aucun être humain ne peut s'approcher de ces piscines.

    Et ce mardi 19 juin 2012, la radioactivité avait tellement monté dans la piscine 2 qu'il n'était plus possible de la mesurer ! L'eau étant en train de s'évaporer, la chaleur et les radiations augmentent fortement et cela pourrait déclencher de nouveaux incendies…

    Imaginez ce qu’un simple tremblement de terre (un tremblement de terre, c’est plutôt banal, au Japon) pourrait produire comme catastrophe en l’état actuel des installations : un incendie radiologique catastrophique se produirait qui pourrait provoquer des émissions de Césium dix fois supérieures à Tchernobyl.

    Certains scientifiques estiment que l'effondrement des piscines serait si grave que l'ensemble du Japon devrait être évacué, soit 125 millions de réfugiés, un désastre écologique et humanitaire sans précédent !

     

    Oui, bon, allez-vous dire, il s’agit encore des déclarations d’un illuminé « anti-nucléaire » (puisqu’il paraît que je serais « anti-tout »)…

    Pensez ce que vous voulez… [1]

    N’empêche qu’un certain Robert Alvarez, qui n’est jamais qu’un haut conseiller à l'environnement et à la sécurité nationale au ministère de l'énergie des Etats-Unis[2] (je pense qu’à ce niveau-là, il ne peut pas être, lui, considéré comme un illuminé anti-nucléaire) estime que (je cite) « Le total des stocks de combustible nucléaire usé sur le site de Fukushima Daichi contient près de la moitié du montant total du Césium 137 libéré par tous les essais d'armes nucléaires dans l'atmosphère, Tchernobyl, et les usines de retraitement du monde entier, soit environ 270 000 000 curies ou 9,9 E +18 becquerels ».

    Oups ?

    Bref…

    Les agences nucléaires du monde entier sont en alerte face à l'éventualité d'une nouvelle dégradation des réacteurs de Fukushima et des piscines de combustible usé, et des retombées radioactives qui s'ensuivraient dans l'ensemble de l'hémisphère nord, retombées qu'il serait impossible de limiter.

    Danger

    Oui, mais, nous ne risquons rien, allez-vous me dire, puisque les frontières européennes – comme ce fut le cas avec les frontières françaises lors du nuage radioactif de Tchernobyl – vont nous protéger de toute retombées chez nous !

    Bien sûr, c’est évident…

    Il est surtout évident, en tout cas pour moi, qu’il ne faut pas compter sur les autorités pour nous protéger, et encore moins pour nous « prendre en charge » en cas de pépin. Nous dire que tout est sous contrôle et que nous ne devons pas nous inquiéter, oui, pour ça, les « autorités » sont championnes, mais pour le reste…

    Ce qui inspire une autre réflexion…

    Si, dans un domaine aussi crucial que la sûreté nucléaire, lesdites autorités sont capables de laisser une telle catastrophe se produire (enfin, quoi, il est difficile de prétendre qu'au Japon, personne ne connaissait le risque de tremblements de terre et de tsunami ![3]), et si elles sont capables de si mal gérer les conséquences, dites-vous bien qu'elles agissent de la même façon, et pire encore, dans d'autres domaines, y compris celui si crucial de la santé publique.

    Le bien public ? Il est bien peu de chose par rapport à l’argent, au prestige, au nombre de contrats signés, … !

    Et s'il faut pour cela (pour son prestige, pour son portefeuille) contribuer, de façon active ou passive, à mettre en place un système dangereux et inhumain, beaucoup n'hésiteront pas. L'Histoire l'a prouvé de nombreuses fois, et le prouve de nouveau…

     

    À suivre… En espérant qu’il n’y aura pas de suite !

     

     


     


    [1] Cela dit, je préfère passer pour un illuminé anti-nucléaire qui a peur des (bien trop réels et mortels) dangers du nucléaire, que de faire comme certains qui affirment que le nucléaire serait une énergie propre et sans danger… Qu’ils déménagent vers Fukushima (ou Tchernobyl), si le nucléaire est si sympa que ça ! Encore que si la situation ne s’améliore pas « là-bas », il n’y aura nul besoin de déménager : toute la planète en subira les conséquences !

    [2] Senior Policy Adviser to the Secretary for National Security and the Environment for the US Department of Energy

    [3] Les sismologues japonais affirment que, dans les cinq années qui ont précédés « la » catastrophe de mars 2011, le nombre de tremblements de terre d’une magnitude d’au moins 3 était d’environ huit par mois ! Pire : l’Institut de Recherche sur les Séismes (à Tokyo) a découvert que le nombre de séismes de petite magnitude n’avait cessé d’augmenter après le 11 mars 2011 (quatre fois plus, à vingt fois plus, selon les endroits dans les alentours de Tokyo !)… Oui, à suivre … ! Malheureusement pour toute la planète…


    c'est un blog que je suis régulièrement , il vous apprend énormément sur la meilleure façon de vivre et de se soigner

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